Cette année, le 22 août, a eu lieu la 2nde édition de la journée internationale de commémoration des personnes victimes de violences en raison de leur religion ou convictions.
Cette année, on a pu constater combien l'épidémie de Covid-19 avait aggravé la vulnérabilité des chrétiens et des autres minorités qui subissent au quotidien d'énormes pressions à cause de leur religion. Dans certains pays, les chrétiens ont été écartés de la distribution de l'aide, au risque de souffrir de la faim.
Confinement, restrictions de déplacements, ces mesures instaurées par les États pendant l'épidémie de Covid-19 ont eu pour effet d'isoler encore davantage les chrétiens persécutés.
L'ONU a instauré cette journée en réponse à l'augmentation du nombre de violations du droit à la liberté religieuse partout dans le monde.
La résolution stipule que «les États ont comme responsabilité première de promouvoir et de protéger les droits humains de leurs citoyens notamment de ceux qui appartiennent aux minorités en garantissant leur droit d'exercer leur religion librement.»
Cette journée de commémoration nous rappelle que plus que jamais, les minorités religieuses ont besoin d'être défendues et protégées.
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